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 Carmen Swanson

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Carmen Swanson Empty
MessageSujet: Carmen Swanson   Carmen Swanson EmptyMar 5 Mai - 9:33


Shake it out
fiche par asi'click


Carmen Swanson


son séjour à l'hôpital après son accident a duré six mois, son absence du travail, deux ans + elle était en couple avant, mais la relation n'a pas survécu à cette épreuve (manque de patience de son conjoint et difficulté pour Carmen de se confier à lui) + elle n'est pas aussi prête qu'elle le croit à reprendre le travail + elle n'a plus les nerfs d'acier qu'elle avait avant, de même qu'elle ne se moque plus vraiment du danger + même lorsqu'elle sort avec des amis, elle ne le fait qu'en ayant son pistolet avec elle + elle essaiera toujours de répondre aux attentes qu'on a envers elle et elle a du mal à admettre ses faiblesses + elle a toujours eu un chat, mais depuis qu'elle vit seule, elle s'est également achetée un chien, un grand molosse + elle sursaute facilement et se tient généralement, dans une pièce, dos au mur pour que rien ne lui échappe + son sens de l'observation est infaillible, ses collègues le savent, mais elle doute souvent d'elle-même et mettra toujours les bouchées doubles + il y a des détails de son attaque que personne ne connait sauf les médecins qui l'ont traitée, et elle tient à garder ces détails pour elle-même + elle n'aime pas le silence : chez elle, il y a toujours une radio ou une télévision qui joue en sourdine + elle n'a jamais aimé dansé + elle entretient les liens avec ses parents, mais au minimum; depuis qu'ils ont quitté la ville, elle n'a pas vraiment eu la possibilité d'aller les visiter + elle se ronge les ongles et, lorsqu'il n'y a plus assez d'ongle à gruger, elle entame la peau autour + elle a un tatouage dans le dos, qui date de son adolescence et de ses années folles et qui ne la représente plus du tout


prénom carmen. nom swanson.  âge 30 ans. date de naissance 8 août 1984. lieu de naissance : clint ciy. activité professionnelle détective. orientation sexuelle hétérosexuelle. statut civil récemment séparée, après son arrêt de travail. groupe sentinel.

Baramca street est une zone qui se retourne souvent contre les forces de l’ordre. La détective Carmen en a fait les frais en tombant dans une embuscade qui la laissa à deux doigts de la mort. Mais les efforts conjugués de deux techniciens du clan ont fait d’elle un vrai nid à gadgets pour faire régner la loi, mais surtout pour lui redonner assez confiance pour retourner sur le terrain. Bon d'accord, l’imagination de ses collègues n’a pas créé que des choses de bon goût mais au moins, ça marche.

souriante (mais son sourire n'a plus la même spontanéité qu'avant) - sociable bien que méfiante - prompte à offrir son aide - curieuse mais prudente - perfectionniste - impatiente

réputation de ton personnage dans la ville il y a quelques années, j'étais une détective redoutée des petits criminels. après mon accident par contre, on a cru, à raison que j'étais terrifiée et que je ne voulais plus retourner dans les rues. mais avec tous les gadgets que mes collègues me fabriquent, je suis prête à me refaire une réputation, enfin je pense.

opinion de ton personnage face aux clans de la ville toute la ville manque d'ordre et de discipline. si seulement les chefs de chacun des clans le voyaient et décidaient de faire quelque chose pour y remédier, on gagnerait du terrain.

Carmen a toujours été fasciné par les émissions d'enquête à la télévision. Elle s'en nourrissait littéralement. Ça n'a donc étonné personne dans son entourage quand elle s'est dirigée vers une carrière dans les forces de l'ordre. Après quelques ajustements à faire (passer de la fiction dans le confort de son salon à la réalité de la rue, ça demande un temps d'adaptation), elle s'est vite démarquée parmi ses collègues. Son goût pour la justice et le travail bien fait en ont fait une enquêtrice hors pair.

Le hic, c'est qu'une réputation positive dans la police, ça veut aussi dire beaucoup d'ennemis dans la ville. Alors qu'elle croyait enquêter sur un crime relativement mineur, Carmen s'est retrouvée embusquée dans une ruelle par plusieurs grosses têtes du crime qui s'étaient alliés pour mener leur petite vendetta. Ils ont laissé la jeune femme pour morte dans la ruelle, bien amochée, tant physiquement qu'émotionnellement. Quand ses collègues l'ont retrouvée aux urgences, elle a juré que c'était fini pour elle. Chasser le crime, c'était trop dangereux. La jeune détective avait perdu confiance en elle, en ses ressources.

Mais le Sentinel n'aurait pas été content de se passer d'un membre aussi méritant et des mesures furent prises pour lui redonner la confiance en elle qui lui manquait. On commença par la pousser dans des séances chez le psychologue, qui ne firent pas grand bien. Puis deux de ses amis finirent par trouver une solution. Carmen n'avait plus confiance en ses ressources ? On lui en donnerait donc. Ils se mirent donc à lui bidouiller une tonne de gadgets dignes d'un agent secret venu du futur. Armée de sa surprenante et, apparemment inépuisable, artillerie technologique, Carmen est (presque) prête à retourner sur le terrain.
Et toi derrière l'écran, c'est quoi ton nom/pseudo ? Anne-Sophie/Armie. T'as quel âge ? 24 ans. Comment t'as connu le forum ? Je l'ai créé je crois bien. Qui figure sur ton avatar ? Annabelle Wallis. Est-ce qu'il s'agit d'un personnage prédéfini ? Oui. Questions, commentaires, cris du coeur ? Dam dam da dam.


Dernière édition par Carmen Swanson le Sam 9 Mai - 10:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Carmen Swanson   Carmen Swanson EmptyMar 5 Mai - 9:38

HS : Cet épisode prend place trois mois après sa sortie de l'hôpital, deux semaines après que son fiancé l'ait quittée. Du temps a passé depuis mais la psyché du personnage demeure.

Elle s’était déjà levée deux fois pour vérifier que la porte était bien verrouillée. Pourtant, Carmen ne put s’empêcher de redresser dans son lit pour une troisième fois. Dans le noir, elle tâtonna pour attraper la cane qui reposait contre le mur. Une fois appuyée dessus, elle marcha jusqu’à l’interrupteur. Son regard parcourut tous les recoins de la pièce, comme il l’avait fait déjà plus tôt, puis se plongea dans le couloir, éclairé d’une petite lumière qu’elle laissait toujours allumée maintenant. Tranquillement, lentement, elle remonta le couloir jusqu’à l’entrée de son appartement, passant par toutes les fenêtres pour voir si elles étaient bien fermées, puis elle tritura le verrou de la porte pendant une bonne minutes avant de soupirer et de reprendre le chemin inverse jusqu’à son lit, vide.

Deux semaines plus tôt, il l’avait quittée. Un petit coup d’œil à son horloge lui disait que c’était à peu près à la même heure. Depuis qu’il l’avait sortie de l’hôpital, il s’était montré très compréhensif, mais elle pouvait le voir dans sa manière de rouler des yeux et de soupirer quand il pensait qu’elle ne portait pas attention : il trouvait cette nouvelle situation très difficile. Trois fois par nuit elle lui demandait de se lever pour vérifier la porte. Il faut dire qu’elle n’était pas encore tout à fait assez forte pour la canne. Deux semaines plus tôt, vers trois heures du matin, elle l’avait réveillée en panique pour lui demander d’aller voir à la porte. Il n’était pas revenu se coucher. Quelques jours plus tard, il était venu chercher ses affaires. Elle comprenait. Elle n’était plus la même qu’avant, elle n’était plus vive, excitante et volontaire. Elle n’était qu’un débris de ce qu’elle était avant l’incident. Vivre avec une peur constante l’empêchait d’apprécier quoi que ce soit. Elle n’avait pas le droit de lui en vouloir, et en même temps, elle ne pouvait s’empêcher de le trouver aussi lâche qu’elle, de lui reprocher son abandon.

De nouveau assise sur le bord de son lit, ses méninges se remirent à tourner. Avait-elle barré la porte ? Elle l’avait déverrouillée pour la verrouiller à nouveau, mais l’avait-elle vraiment fait ? Elle était là, assise dans le noir à mettre en doute chacun de ses gestes. Machinalement, avant que ça ne dégénère, elle tendit la main vers sa table de nuit et s’empara de son flacon de calmants. Quatre cachets atterrirent au fond de sa main, puis dans sa gorge, et furent rincés par une grande gorgée d’eau. Elle se recoucha, les yeux grands ouverts. L’inquiétude perpétuelle qui l’animait agissait à l’inverse de ses médicaments, qui auraient dû agir plus rapidement. Au bout d’une heure, ses yeux acceptèrent de se fermer, et elle put tomber dans un sommeil sans rêve dont elle ne se réveillerait que quelques heures plus tard, en même temps que l’angoisse.
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